1977

Iraq

EN

Born in 1977, Sinan Hussein graduated in University of Fine Arts in Bagdad.

He's part of the Iraqi Fine Arts Artist Society and member of The Union of Iraqi Artists.

Sinan Hussein's whimsical characters appears weightless in sparse environments that indicate a state of limbo. Hussein's protagonists are depicted in pairs or as lone figures, twisting through open spaces. Lovers are huddled as clusters of mass around with all other elements revolve. To achieve this effect, their bodies are first rendered with a thin black line that creates a shell, a home for the spirits in need of shelter. This cast is then filled with solid forms and finalized with the layering of washes, creating volumes. At times, his characters are canonized with golden halos, some of with grow to enclose the entire figure.  

Other symbolic clues are distributed throughout Hussein's compositions. Fish figures appear as an indication of seclusion and reproduction, a paradox that mirrors the reality of exile. 

FR

Sinan Hussein est diplômé de l’université des Beaux Arts de Bagdad. 

Il est membre de la Société des Artistes Plastiques irakiens et de l'Union des Artistes irakiens. 

Les personnages fantasques de Sinan Hussein paraissent en apesanteur dans un environnement rappelant les Limbes. Ils sont représentés par paires ou comme des protagonistes isolés s’enroulant dans des espaces ouverts. Les amants sont blottis, groupés par masse autour desquelles d’autres éléments s’animent. Afin de parachever cette atmosphère, leurs corps sont définis par une fine ligne noire créant aisni un cocon , une maison pour des esprits en quête d’un abri. Ce décor est ensuite meublé de formes solides et des couches successives qui éclairent la peinture, créant ainsi les volumes de la scène. Pafois, les perosnnages sont comme sacralisés avec des halos dorés, certains englobant toute la personne.

D’autres éléments caractéristiques de la peinture de Hussein se retrouvent dans ses compositions. Tels que les visages de poissons faisant référence à l’isolement mais aussi à la reprocduction, un paradoxe qui reflète la réalité de l’exil.